J’aime la photographie de rue pour ce qu’elle a de spontané et d’imprévisible. C’est une manière de capturer l’éphémère — un regard, une silhouette, une lumière passante — avant qu’il ne disparaisse à jamais. Marcher dans la ville, l’œil attentif, c’est comme chercher des trésors invisibles, des fragments de vie figés en une fraction de seconde. C’est cette chasse à l’instant vrai qui me passionne.